Polyneuropathie diabétique (PD) est une complication fréquente, croissante de fibre de petit nerve du pie progressiant en ulcères neuropathiques Objectif : développer et valider un nouvel instrument de mesure (le NerveCheck 80) versus TSQ : Plus accessible ; économique ; portable ; rapide. (NerveCheck).
73 (hommes/femmes sains, 16–76 ans) évalués CASE IV et NerveCheck. 52 sains ; 64 diabétiques avec ou sans neuropathie évalués : Electromyographie, microscopie confocalecornéenne, innervation épidermique fibres de densité de nerf (IENDF), méditions Neuropathiques des incapacités (NDS), Neurothesiometer (NTH), NerveCheck. SPV, évaluation seuils chaud/froid (méthode niveaux) et seuil de la douleur au chaud (méthode limites) durant 12 min NerveCheck. Statistique : analyse variance, régression linéaire corrélation de Pearson.
(n=73) sains, SPV anormale détectée 12 (15,1 %) NerveCheck, contre 7 (9,6 %) CASE IV. Coïncidence diagnostique 84,9 %. 49 sains SPV anormale détectée 2 (4,1 %) NerveCheck contre 11 (22,4 %) NTH. Coincidence diagnostique : 81, 6 %. évaluation âge/diagnostique. NerveCheck r=0,69 (p=2,13×1011) CASE IV r=0,66 (p=2,89×1011). corrélation Pearson : – 0,70. NerveCheck r=0,51 (p=4,01×104) et NTH r=0,55 (p=8,17 × 105). 0,57 diabétiques avec ou sans neuropathie (n=64) NTH r=0,64 et r=0,69 NerveCheck, (p<0,0001).
Chez les sujets sains, SPV évaluée à l’aide NerveCheck était significativement corroboré avec CASE IV et avec le Neurothesiometer pour les sujets contrôlés et patients diabétiques. Il y a une dépendance entre l’âge et les résultats du diagnostic. Le NerveCheck est préférable au Neurothesiometer pour détecter une anomalie dans la perception des vibrations chez les patients diabétiques.